Bien sur Marc… c’est pour ça que la réaction du gamer moyen à attendre fulgurant pour la première fois ses de partir à rire, parce que c’est tellement ‘bad ass’.
C'est une question d'opinion ça, on va pas se convaicnre ni un, ni l'autre.
Je ne suis pas super connaissant de la situation des franco-ontarien… y’a-t-il des loi anti-démocratique qui les forces à changer le contenu de leur affiche ou de tenir une certain quantité de stock d’un certain language dans leur commerce?
Beaker a écrit:
Quand je repense au trajet, j'ai une fierté.
Je comprends à 100% pourquoi tu es fier de ton français Will.
Ça été une décision consciente, un gros effort, une grosse partie de ta vie tout et une aventure pour toi. C'est chargé d'émotion en plus.
Il y'a de quoi être fier quand on réussit à améliorer ses connaissances.
Et oui, je suis bien fier de mon anglais... parce que j’ai dû je m'éduqué moi-même - c'est certainement pas qu'est-ce qui passe pour un programme d'anglais dans nos écoles qui m’a appris! Quand tu grandis dans un petit village dans les terres québécoises, ce n’est pas exactement facile.
Inversement par contre… j’ai eu à peu près autant d’implication et de mérite sur le fait de parler français que du fait que je suis né avec la peau blanche. Même chose pour toi et l’anglais.
Beaker a écrit:
Pour répondre donc aux questions d'origine, je trouve ce bordel triste. En enseignant les Inuits, je sais très bien qu'un langage et une culture sont fragiles, et ils peuvent être perdus d'une génération. Il y a beaucoup d'Inuits qui ne parlent plus l’Inuktitut. Il a pris une vingtaine d'années pour le défaire. Il faut qu'on protège les cultures de monde.
Mais, je sais aussi que les cultures et langages peuvent vivre ensemble sans hostilités, comme en Europe. Beaucoup de gens parlent 5 à 7 langues. C'est génial! Ma conjointe parle quatre langues très bien et une autre quatre d'une manière plus ou moins fort.
J'ai des amis anglophones aussi qui sont très fermé au monde francophone. Je le vois comme des enfants qui n'ont pas grandi. Vous ne voyez pas à quelle distance vous êtes sans considérer votre départ.
La situation du Québec et de l’Europe n'est vraiment pas la même par contre… le Québec et entouré d’anglais et le français et minoritaire. Ça n’aide pas que les québécois sont un peuple vaincu qui a été opprimé par les méchants anglais pendant de nombreuses années. Se rattaché à ses valeurs ancestral et normal dans des situations comme ça et le langage et un point commun qui nous différencie de l’ennemi.
La France? Eh bien, la France regarde ses voisins d’un pied d’égalité. La France à des voisin qui parle Italien, Anglais, Allemand, Portuguais, etc – il n’y’a donc pas de ‘grand adversaire’. La situation est complétement différente.
La crainte du PQ présentement, c’est que si un individu parle français et anglais, il va choisir l’anglais. Ce n’est pas sans fondement… ont est bombarder par des produit de divertissement et culture anglophone constamment… et force et d’admettre que plusieurs de ses produits sont de qualité (Budget oublige). Alors la solution du PQ? Réduire (idéalement, éliminer) l’anglais.
C’est assez ordinaire pour un petit commerçant comme Chez Geeks, qui n’a pas vraiment d'enjeu dans la grande bataille linguistique du Québec… ils veulent juste faire leur affaires à leur façons pour leur clienté (qui est clairement présente). Mais le marché libre, ça fait très peur au partisant du français...
Don Kharsi a écrit:
Pour les amis et les blondes je ne sais pas, mais je suis surpris pour les emplois! Quand tu vas à l'ouest de st-laurent, ça devient de plus en plus rare d'entendre parler français, jusqu'à ce que quelques kilomètres plus loin, ça devient carrément impossible...
Mais d'avoir de la difficulté à trouver un emploi au Québec pour un unilingue anglais, c'est pas un peu normal au fond? Je comprend que tu n'y était pour rien et que tu étais plein de bonne volonté beaker, mais si je parle juste français et que je me cherche un emploi en Ontario par exemple, je pense que j'aurai pas mal plus de difficultées que tu en a eu...
Et au Québec, combien de québécois de souches, qui ne parlent pas anglais, ne sont pas capables de trouver un meilleur emploi parce que la grosse majorité des employeurs veulent des employés qui parlent aussi anglais?
Deux points ici;
1 - C'est prouvé que c'est plus dure pour les unilingues (Qu'il soit francophone, anglophone ou autre) de se trouver un emploie que les bilingues au Québec. En cherchant à limiter le français dans les écoles primaires/secondaires, le gouvernement québécois s'enligne pour créer un génération de chomeur...
2 - En tant qu'employeur, je ne cherche pas des bilingues parce que je suis un méchant pas fin coloniser du cerveau - mais parce que j'ai des clients anglophones, et il faut bien pouvoir leur parler. Engager quelqu'un qui parle seulement français ou anglais et un casse tête au point vue horraire et réparition de tâche - habituellement, quand j'embauche, c'est pour me simplifier la vie, pas pour la compliquer.